Dialogue avec l’ange 001 – Page 225.1/3

— Sont insolites le temps, l’endroit, l’occasion.
Je suis descendu quand même car mon service est : aider.
As-tu encore des doutes ? Des points qui ne sont pas clairs ?

L. Oh non… mais je vois ma tâche très grande.

— Cela n’est pas un manque de clarté,
mais lumière trop forte.
Les yeux ne voient pas s’il n’y a pas de lumière.
Ils ne voient pas non plus
si son intensité est inhabituelle.
Tu as reçu trois étincelles aujourd’hui. — Le sens-tu ?
L. Pas encore.
— Quels sont les trois plus grands manques ?
Lili répond avec une rapidité étonnante ; de toute évidence, elle s’était énuméré mille fois tous les défauts qu’elle pensait avoir :
L. Manque de foi, de travail, de don de soi.
— Il n’y a pas manque de travail mais manque d’action.
Du travail tu en as mais tu ne t’y mets pas.
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Évocation PhotoGraphique recueillie le 21 juin 2009 à Longecourt en Plaine FRANCE

Contexte
Juste avant un séjour en France, j’avais lu avec délectation, sorte de communion chaude et cellulaire, un livre de Rudolph Steiner dans lequel il parle, entre-autres, du solstice d’été et de possibles manifestations suprasensibles en cette période le l’année sous forme d’une colombe précédent celle de l’Archange Michaël au regard bienveillant penché vers la Terre et les hommes.

Les dessins abstraits de Steiner qui illustrent son propos, sont très différents des Évocations ci-dessus. Ses intuitions sont justes, peut-être le mental y est-il encore trop dirigeant ? Ici, c’est comme si le principe de l’idée qui m’imprégnait sans me « mettre martel en tête », émanait de, avec et par une Intelligence Créatrice qui tout en me dépassant, me communie en sa nature même afin de me communiquer en vérité.

Ce n’est surtout pas le côté prodige qui doit nous interpeller, mais le fait que, oui, d’autres plans existent, et qu’il y a urgence, pour l’avenir de l’humanité, de nous « disponibiliser » à ces plans. Le transhumanisme froid fait pâle figure devant ce plan tellement plus subtil qui nous appelle.

Pour la petite histoire

Je lisais tranquillement un livre dans une chambre du troisième étage lorsque Bénédicte a frappé à la porte pour me demander d’aller cueillir des groseilles dans le potager. En sortant par la porte du hall de la cuisine, j’ai vu une turbulence qui se constituait à grande vitesse. Je suis remontée quatre à quatre chercher mon appareil sans m’inquiéter que peut-être il serait trop tard ; dans l’Ouvert, ce genre de comportement n’a pas de sens. Une fois redescendue, j’étais au bon endroit au bon moment. J’ai ensuite capté quelques instantanés que je vous partage avec le souhait qu’ils vous étonneront, vous interpelleront, vous réconforteront ou vous conforteront dans vos intuitions lumineuses. Des instantanés qui nous dévoilent nos aptitudes, si et seulement si…

©Anne Ginetti info@photoginetti.com